Le Diagnostic de Performance Energétique (DPE), aussi appelé diagnostic thermique, doit, depuis son entrée en vigueur le 1er juillet 2007, être joint à toutes les constructions neuves et à tous les baux locatifs. Engagé suite à la signature du protocole de Kyoto, la directive européenne n°2002/91, parue en janvier 2003, a donné naissance en France à la loi n°2004-1343 du 9 décembre 2004, qui rend ce diagnostic obligatoire: son absence d’établissement peut amener à des sanctions (contraventions). Il doit être établi par un professionnel.
Objectifs et l’intérêt d’un DPE
Le Diagnostic de Performance Energétique (DPE) classe les bâtiments en fonction de leur consommation d’énergie et de leur émission de gaz à effet de serre. Cette mesure de consommation doit être formulée en kilowatt heure par mètre carré de superficie et par an, accompagné d’une estimation de coût énergétique. Ce coût est calculé en fonction d’un protocole commun établi par les pouvoirs publics, ou constaté en calculant la moyenne des consommations sur les 3 dernières années.
L’un des autres objectifs du DPE est de sensibiliser le futur occupant (qu’il soit propriétaire ou locataire) des conséquences d’une consommation excessive d’énergie sur le climat de la planète. Cette consommation, comme sur la plupart des appareils électroménagers, est classée sur une échelle alphabétique allant de A (économe) à G (très consommateur en énergies).
Le DPE permet aussi au futur occupant du logement de disposer de conseils pour maîtriser sa consommation d’énergie (et donc de réaliser des économies d’énergies) et fournit au propriétaire des pistes de travaux éventuels à conduire pour réduire la consommation énergétique générale de son bien immobilier.
En général, le coût d’établissement d’un Diagnostic de Performance Energétique se situe aux alentours de 200 euros, et peut varier notamment en fonction de la superficie du logement.
Importance de la rénovation des installations électriques
Toute installation électrique antérieure à 1991 est considérée comme vétuste. A cela plusieurs raisons dont la principale est l’absence presque systématique de différentiel dans la grande majorité des installations.
Or, le différentiel est un élément majeur de la sécurité électrique des résidents. C’est pourquoi lorsqu’on entreprend des travaux de rénovation, ces derniers impliquent également une rénovation installation électrique et des travaux d’électricité.
Refaire son installation électrique est même une des premières choses envisagées lorsqu’on entreprend des travaux de rénovation. Les installations électriques sont ainsi beaucoup plus sujettes au vieillissement que les autres composantes de l’habitation. En effet les 30 et 40 dernières années, de nombreux progrès ont été réalisés en ce qui concerne les matériaux, les normes… Il faut aussi prendre en compte que les usages électriques ont connu de nombreuses modifications. Les appareils électroménagers se multiplient dans nos logements. Ces derniers sollicitent plus intensément nos réseaux domestiques, qui s’ils sont un tant soit peu vieux, n’ont pas été pensés, ni conçus pour supporter les besoins électriques de nos différents appareils.
La rénovation électrique est un des points crucial qui doit être pensé au tout début des travaux de rénovation. En effet la rénovation électrique va prendre en compte l’aménagement des pièces, pour que selon les différentes pièces, le nombre de prises soient adéquat à l’utilisation de la pièce. Ainsi une pièce comme la cuisine, où on utilise généralement de nombreux robots électroménagers pour cuisiner, va devoir être plus fournie en prises que les sanitaires ou la salle de bain. Si vous souhaitez parfaire vos connaissances en dépannage électrique, sur internet vous découvrirez de nombreux conseils pour découvrir que faire en cas de panne d’électricité.